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  • : I wanna stripp down u'r underwearz !right NOW!!!!
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I wanna break All the rulez!!

this article was provided courtesy by the Nov4*Gar4 jammin'club.[all copyrights reserved]  gig-id.gif link

[...] Je suis peut être déjà mort, il y a longtemps, dans une suffisance arrogante, et ce jour là j’ai prié pour une seconde chance, avec une telle ferveur, que l’instinct d’une lumière nouvelle a transcendé la mort.
La vie n’a pas été totalement obscurcie mais a parsemé ma route de débris qui se sont mués en lointain souvenirs.... Comme aujourd’hui....[...] R.Browning

[...] ..."L'Ecriture Sainte n'est pas une science de l'Esprit mais du Coeur. Elle n'est intelligible que pour ceux qui ont le Coeur Droit."j'accomplirais alors:L'Oeuvre de Dieu"?...et dans le cas contraire......j'embrasserais le Mal comme Abîme où sombre celui qui se détourne de Dieu......."j'accomplirais alors la Part du Diable!"...[...]

...Ami lecteur qui se serait trompé de Blog...il te reste la liberté de dégager de ce blog, si le contenu explicite te pose un problème...parceque je suis magnanime . Toute ressemblance avec des personnes existantes est invonlontaire, le contenu de ce blog est le fruit de mon "imagination"....???....va savoir charly???.......

 

 
enjoy this Musical Interlude.....

 


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23 juin 2010 3 23 /06 /juin /2010 15:53

article intéressant

 

......après les hommes préfèrent les grosses à la josianne balasko ou dernièrement Luce de la pseudo nouvelle Star qui sert à rien puisque widget Musical

......les hommes préfèrent les folles......??......putain c'est quoi le sketch???......

 

Signe des temps?= On doit vraiment être ravagé du bulbe, mais si on avait la faculté d'anticiper sur ce genre de meuf chtarbée, croyez pas qu'on se retrancherait par soucis de précaution et je sais de quoi je parle après m'être colleté une Pieuvre débile complètement schyzo....vous croyez que j'ai remis le couvert, parceque ben c'est vrai les hommes préfèrent les pieuvres c'est bien connu...moi j'ai dit NEXT!!!..........la blague.......enfin reste cet article....bonne lecture, moi je vais prendre une aspirine......

 

 

Pensez à Marilyn Monroe, exemple type de la bombe sexuelle qui cachait une profonde dépression derrière une beauté à couper le souffle. Glenn Close, Angelina Jolie. Ou toutes les star des temps modernes qui vivent leur vie comme un film, toujours à la recherche de quelqu'un à aimer ou à détester, «simplement parce qu'elles ne peuvent pas se trouver elles-mêmes», explique le Daily Beast.

 

Les hommes sont fous d'elles, et de ce trouble psychologique qui promet souvent une sexualité torride et passionnelle.

ben, là tu m'intérresses parceque de mon point de vue..............beurk.......(quid de la sexualité torride, je crois bien avoir eu mal au crâne pendant 2 piges.....)

 

Les psychiatres ont un nom pour ce phénomène difficile à identifier car d'apparence finalement assez «normale». Depuis les années 80, ils appellent ces personnalités des personnalités «borderline» («cas limites») car cette pathologie a d'abord été située entre la psychose et la névrose, confondue pendant des années avec le trouble bipolaire.


Les jeunes, et principalement les femmes, sont les plus touchées. Chez ces femme fatales du nouveau millénium, chez ces «femmes-enfant au côté obscur», il faut ainsi penser à diagnostiquer un Borderline Personality Disorder, (BPD) qui présente un certain nombre de symptômes: une vision du monde tout noir/tout blanc, une profonde peur d'abandon, des sautes d'humeurs, des relations instables, une vulnérabilité dévastatrice...

Complexe du héros

Un certain type d'homme succombe à tous les coups. Car être fou des borderline en dit long sur sa propre personnalité. Des hommes qui réussissent bien dans leur vie, ont une tendance à être obsessionnels et à supprimer leurs émotions, peuvent facilement se laisser aller à la passion d'une relation avec une femme bordeline, explique Frank Yeomans, un expert du BPD, car ils se disent «Elles remplissent une intensité qui manque à ma vie».

La fragilité d'une femme borderline attire aussi les hommes atteints d'une sorte de complexe du héros. La femme borderline ayant sans cesse besoin d'être rassurée et mise en confiance, ces hommes se sentent utiles.  Ce sont en fait souvent des hommes narcissiques qui gravitent autour des BPD, la pathologie de l'un compensant celle de l'autre. Sortir avec une femme borderline peut être exaltant pour un homme ravi que toute l'attention se concentre sur lui, à force de questions jalouses comme «Ou étais-tu hier soir, qu'as-tu fait?».

 

Pour ces femme qui suscitent tant de fantasmes, «le sexe n'est en fait pas l'essentiel», explique une autre experte qui travaille avec des personnalités borderline, «leur intérêt réel est plus d'obtenir un ancrage, un confort, une définition d'elles-mêmes "Je suis une personne car j'ai cette relation"».

2% en France

Aujourd'hui près de 1,6% des Américains de plus de 18 ans sont atteints de BPD, d'après l'Institut national de santé américain. Au minimum 2 % des Français seraient concernés, à en croire Doctissimo.

Certaines caractérisques qui n'entrent pas dans la définition scientifique sont également observées par de nombreux experts du BPD. Les femmes borderline sont souvent des femmes brillantes, très agiles d'esprit et douées pour le débat. Avec un traitement, elles ont toutes les chances de s'accomplir dans de brillantes carrières.

Beaucoup de femmes atteintes de BPD ont aussi été victimes d'abus sexuels et ont été très timides et inhibées durant leur enfance. Elles sont également souvent atteintes de troubles alimentaires et sont très attachées à leur apparence.

[Lire l'article du Daily Beast]

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17 juin 2010 4 17 /06 /juin /2010 14:21

A la rubrique pose pas la question, parceque tu vas détester la réponse? = here it is.....

 

ha ha, je jubile d'avance....celui-là, pour faire suite à l'excellent article (une fois n'est pas coutume!), du Magazine BE.....je commençais à désespérer de lire ce genre de develloppement

....j'aurais pû eventuellement me reconnaitre à ceci près que je ne mange pas de ce pain là....le Gus qui se fait resonner et vulguairement manipulé la Bite ds ce genre de situation merdique, putain c'est pas MOI, et ce sera jamais moi.......

à la lecture de l'article en question, j'ai remercié le petit Jésus de m'avoir fabriqué avec cette vertu de pas remettre un putain de pied ds ce genre de plan Vietnamien.....well, Be what it is right ???...à toutes les misses "pieuvres" programmées pour ce genre de plan galère, well....c'est Pauvre......non???.....


L'infidélité donc : intérressant point de vue......


( perso, je préconise une solution simple autant que radicale, se barrer de ce genre de relation merdique parcequ'on a toujours le choix de se couper un putain de bras........pas vrai??? )

 

- Quand le désir fait place à l'ennui :


=Le quotidien use l'érotisme. Certain d'avoir conquis l'autre une fois pour toutes, on ne fait plus guère d'efforts. Quand les relations intimes deviennent rares et monotones, le bon sens est tenté de conclure qu'on va chercher ailleurs ce qu'on ne trouve plus à la maison. Mais, à moins d'être affamé par une longue privation, l'insatisfaction sexuelle n'est qu'une part, souvent minime, de ce qui motive le désir d'infidélité. Même si les rapports sexuels ne sont pas particulièrement enivrants, lorsque le couple s'entend bien, il peut en parler et oeuvrer pour se rejoindre aussi sur ce point. La pauvreté des rapports sexuels est plus souvent le symptôme que la " maladie ". Elle traduit une dégradation de la vie amoureuse bien plus globale. L'ennui s'est installé, sournoisement, on ne sent plus assez apprécié(e), désiré(e).

Aux premiers temps du grand amour, on n'a que lui en tête, on ne voit même plus les autres. Et puis... Un beau jour, on se découvre sensible au charme d'un ami ou d'un collègue... Mais désir d'infidélité ne veut pas dire passage à l'acte. Et c'est à nous de faire que cette envie devienne un atout pour notre couple.

- Pourquoi ?:


Il y a, dans toute relation durable, une part de conflits et de déceptions. Quelques-uns ne la supportent pas. Amoureux de l'amour plutôt que de leur partenaire, ils enchaînent les lunes de miel pour se sentir éternellement jeunes et vivants. "Il faut accepter de faire évoluer ses illusions", constate Annie Alibert, psychanalyste. Dans la passion, l'autre est une statue, un idéal. Mais une relation figée meurt. On n'est pas tout pour l'autre, il n'est pas tout pour nous, même si nous sommes extrêmement importants l'un à l'autre. La fusion est le piège numéro un du couple. Il se referme sur lui-même, ne laisse plus la vie entrer". Dans les couples fusionnels, la relation s'asphyxie. L'un des deux risque de se réveiller subitement, de se sentir prisonnier et de s'enflammer ailleurs. Et notre époque multiplie les gadgets pour nous perdre. "Avec le portable, on est joignable partout", illustre Ginette Lespine, thérapeute conjugale. "On n'a plus de vie à soi, de coin à soi, de fantasme lié à l'attente ; on est en manque de manque !" Or, c'est l'absence qui attise le désir, comme l'a constaté Marianne. "Il y a des hauts et des bas dans mon couple, des périodes où il m'attire moins, d'autres où je l'adore. Il est parti en voyage trois jours, la semaine dernière. Quand il est revenu, j'étais folle de lui. L'alternance séparations-retrouvailles ravive le plaisir de se rejoindre."

- Une façon de se rassurer?=


Cette panne d'élan creuse un vide intérieur qui nous rend disponible pour une rencontre. L'herbe n'est-elle pas plus verte ailleurs ? Une autre personne ne comblerait-elle pas nos attentes qui ne reçoivent plus de réponse ou n'en ont jamais reçue ? Quand le couple engendre trop de frustrations, ce peut être aussi une sorte de revanche : puisque tu me déçois, un autre va me combler !Au bout de vingt ans, Muriel ne partage plus grand-chose avec son mari. " Je m'invente une histoire d'amour imaginaire, avec un homme que je connais à peine, un roman à l'eau de rose, dont je me raconte un épisode chaque soir avant de m'endormir. Je ne voudrais pas avoir une aventure réelle avec lui, mais ça colore ma vie ". La même insatisfaction explique l'infidélité masculine ou féminine. Leurs réactions, pourtant, ne sont pas tout à fait identiques. La femme aime tester son pouvoir de séduction, se prouver qu'elle peut encore plaire. Comme si, pour se sentir exister, elle avait besoin du désir d'un homme. " La pulsion sexuelle est plus impérieuse chez l'homme, rappelle Jean-Jacques Moscovitz, psychanalyste.* L'homme qui ne bande plus se sent vaincu. Il a besoin de se prouver à lui-même et de prouver aux autres qu'il est puissant. De vérifier qu'il fonctionne ". La femme passe, semble-t-il, moins souvent à l'acte, peut-être parce qu'elle a davantage peur de faire souffrir. L'homme se laisse plus volontiers tenter. Pour peu qu'une diablesse lui mette son décolleté sous le nez... " Il a plus de facilités à changer une femme contre une autre, approuve Ginette Lespine. Car il est passé naturellement de son premier objet d'amour, sa mère, à une femme. La femme a eu plus de mal à trouver l'homme de sa vie, il lui a fallu renoncer à sa mère, mais aussi à son père. " Alors, elle est moins prête à courir le risque de perdre son compagnon. Souvent, il faut qu'il la rende vraiment malheureuse pour qu'elle réponde à l'appel du large. Alors que lui la trompera plutôt s'il ne la rend pas heureuse.

Pour un homme, rendre sa femme heureuse, c'est se rassurer sur sa propre capacité d'être pleinement un homme ! Mais il arrive aussi qu'il ait envie d'aller se faire cajoler, consoler, lorsqu'il devient père par exemple. Sa femme est tellement comblée par l'enfant qu'il se sent abandonné, transparent, moins que rien. Il est ainsi des moments " à haut risque " dans la vie du couple.

 

CQFD.....Pt'ain je m'ennuie...............

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8 avril 2010 4 08 /04 /avril /2010 15:08

Je viens de tomber sur cette merde d'article.....ce gossipage me détend....check it:

 

 

....."Puis, Julien Doré a également été interrogé sur son ex, l'actrice Louise Bourgoin. En effet, la jeune femme a récemment accordé une interview au magazine Elle et MOF a lu à l'antenne l'une des réponses aux questions afin de savoir ce qu'elle inspirait à Julien Doré. "A la fin d'Adèle Blanc-Sec, au beau milieu d'une scène, je m'arrête dans mon jeu et j'explique toutes les raisons de notre rupture. Il faut aller voir le film" raconte Louise Bourgoin.


Réponse décevante de Julien Doré : "Je m'en fous." " (: c'est quoi le rapport entre la question posée à L bourgoin et le principe d'aller voir un film de Besson??..)....putain, ils confondent vie privée et Promo permanente....quand est-ce que tu retournes à ta météo miss Bourgoin......???........

 

haha ha...non, petite rectification, cette réponse est EXELLENTE......faudrait quoi?, qu'on se fasse une rupture d'anévrisme parceque c'est fini...putain, les choses se terminent toujours pour une bonne raison.

Y a tellement de possibilités, je vois pas la logique obligataire de se limiter à une seule personne (providentielle?), c'est pourri....faut écremer les têtes...faire de la réduction de têtes et un jour on fini par trouver....ça prend du TEMPS....et de l'abnégation........

 

 

Julien Doré c'est pas ma dope, mais là tu m'éclates l'ami........We want MORE!!!!!

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3 avril 2010 6 03 /04 /avril /2010 12:15

vortex-state-of-mind.pngtell it like it is...strike with a vengeance......like payback Time?

 

 

 


Ezekiel 25:17

La marche du vertueux est semée d’obstacles qui sont les entreprises égoïstes que fait sans fin surgir l’œuvre du Malin. Bénit soit-il l’homme de bonne volonté qui au nom de la charité se fait le berger des faibles qu’il guide dans la vallée de l’ombre de la mort et des larmes car il est le gardien et la providence des enfants qui se sont égarés.

 

J’abattrai alors le bras d’une terrible colère, d’une vengeance furieuse et effrayante sur les impies qui pourchassent et anéantissent les brebis de Dieu, et tu saura pourquoi mon nom est l’Eternel quand s’abattra sur toi la vengeance du Tout Puissant…

 

 

fear?....

 

 

 

 

le mot du jour:(affutez vos couteaux!!!)

     
  Définition  
 
 
salope, nom féminin
 
Sens  Femme méprisable [Injurieux]. Anglais: bitch (not irresistible!)

 

 

SPECIAL?=I don't think so.....(ou alors après 450 bières)........

 

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1 avril 2010 4 01 /04 /avril /2010 12:51
AUTEUR : Arielle ADDA
DATE :

Août 1989
Aussi présenté au Colloque AFEP, Paris Sorbonne, 30 mars 1996

ABSTRACT : Ne pas adapter l'éducation d'un enfant surdoué dès son plus jeune âge risque de le faire redoubler en 4°-3° avec des conséquences psychologiques dramatiques.
MOTS CLES  : redoublement, échec scolaire, Mensa, indadaptation
URL :
www.douance.org/psycho/adda89.htm
COMPLEMENTS  : Voir la liste de liens en bas de page

Disclaimer : Ce texte est reproduit avec l'autorisation d'Arielle ADDA, qui en conserve le copyright et tous les droits.


Que sont les enfants doués devenus ?

Que sont les enfants doués devenus ? C'est une question qui revient souvent chez les journalistes, troublés par l'équivoque du qualificatif de "précoce". On peut, en effet, penser que les enfants trop doués se fondent ensuite dans la masse, une fois que les autres les ont rattrapés, puisqu'ils étaient simplement "en avance", ils s'éteignent ensuite et tout rentre dans l'ordre.

Je vais donc évoquer quelques cas d'adultes, dont les dons intellectuels n'ont jamais été reconnus lorsqu'ils étaient enfants, puisque ceux qui ont eu toutes les bonnes fées penchées au-dessus de leur berceau réussissent en général avec bonheur, pour leur plus grand bien et pour celui de la société.

Le meilleur des cas est celui de l'enfant travailleur, accrocheur, qui pleure quand il a une mauvaise note ; on attribue son succès à son assiduité et, plus tard, il consacre tous ses dons à sa recherche d'une sorte de pouvoir, de la reconnaissance sociale, et à suivre l'élan qui pousse à aller toujours plus loin, plus avant, tant qu'il existe des possibilités.

Les fées sont plus défaillantes, quand l'enfant doué naît dans une famille qui ne reconnaît pas ses dons, qui le juge de façon défavorable dès que s'amorcent les difficultés scolaires, mais qui paie tout de même à ce crétin de fils des études chères, afin de le mener à une situation acceptable. S'agissant d'une fille, on sera moins appliqué dans la recherche de cette réussite... Adulte, celui qui a tant déçu, qui conserve à jamais l'épithète de "raté de la famille", doit s'arranger comme il peut de cette situation inconfortable, dévalorisante et surtout très culpabilisante. Tracer sa propre voie est, pour lui, bien plus difficile que pour ses frères et soeurs, qui s'attendent toujours à le voir échouer, quelle que soit son entreprise.

Les fées sont encore moins présentes, quand il s'agit d'adultes qui ont toujours suivi une voie un peu terne, sans éclat, mais sans drames marquants non plus : ils ont reçu l'intelligence, mais comme un trésor qui aurait été enfermé dans une boîte dont on aurait perdu la clef. Seuls, subsistent quelques rares éclats, comme de discrets signaux, bien difficiles à détecter.
Ils réussissent moyennement, ils restent nettement en deçà de ce qu'ils auraient pu accomplir, ils n'ont jamais connu d'échec scolaire dramatique, ils se sont contentés de se maintenir dans une médiocre moyenne, s'en tenant à une "honnête réussite" qui ne risquait pas de les différencier à l'excès des autres enfants. Chez eux, c'est le souci de conformisme qui l'a emporté, c'était le sacrifice à consentir pour se faire accepter sans problème par leur entourage.

Il était trop dur d'adopter une position de rebelle, de se heurter à une classe entière, de s'obstiner dans la différence. Depuis longtemps, ils ont pris l'habitude de ne pas exprimer trop ouvertement leurs émotions : elles étaient mal comprises et parler trop sincèrement pouvait déclencher une avalanche de réactions agressives, violentes, plus sûrement blessantes que l'arme la plus offensive.
Rêveur, ailleurs, toujours en décalage par rapport aux autres, cet enfant aura constamment ressenti l'impossibilité de se retrouver au même niveau que ses camarades, dans quelque domaine que ce soit. Devenu adulte, il ne sait toujours pas comment se situer, ses relations amicales en souffrent. Il est avec des amis, il rit avec eux, il goûte leurs plaisanteries, il en tente même quelques-unes et, tout à coup, un mur se dresse : un instant auparavant il s'amusait, et voilà qu'il ne rit plus, même en se forçant. Il se sent coupable de tant de détachement, il s'inquiète même de cette "anormalité" et les autres ne se privent pas de lui faire sentir la bizarrerie de sa conduite. On le dit hautain, trop distant, lunatique, inconstant, peu fiable, rien de bien sympathique.

Pourtant sa bonne volonté n'est pas en cause, il est même le premier à se désoler de cette coupure et il préférerait, de loin, continuer à rire avec les autres, mais ce mur ne se laisse pas franchir, il reste opaque, désespérant parfois.
En retrait, en marge, jamais complètement dans un groupe, mais rarement tout à fait à l'écart, parce qu'il s'efforce de rester inséré, de donner le change, cet adulte demeure incompris, sans en avoir lui-même conscience, puisqu'il n'a pas connu véritablement d'autre situation. Il peut bien imaginer qu'il en va de même pour la plupart des êtres humains, et ce n'est pas l'Ecclésiaste qui le contredira ! "Tout ce qui vient est vanité". "Il n'y a pas de richesse pour les intelligents, ni de faveur pour les savants, car le temps de la malchance leur arrive à tous".

L'image qu'il a de lui-même reste floue : à son travail, il est souvent dans une position subalterne, parce qu'il n'a pas poussé ses études. Même s'il a choisi une voie qui ne lui déplaisait pas, il a été au plus simple. Dans ces conditions, il n'a pas intérêt à se montrer trop brillant : ses collègues le jalouseraient, ses chefs profiteraient de son travail, ou bien le mettraient sur une voie de garage, où il ne fera d'ombre à personne. Passer des examens pour progresser dans la hiérarchie, devenir à son tour un petit chef ne le tente pas vraiment, le courage lui manque, il n'a pas envie de se retrouver "à l'école", alors qu'il n'en garde pas tellement de bons souvenirs.
On s'est parfois moqué de lui, on l'a laissé de côté, les franches rigolades des autres ne le faisaient pas toujours rire.
Il se rappellerait plutôt sa rencontre avec un adulte passionné, un professeur enthousiaste, qui lui a ouvert des mondes ignorés : il a rêvé de Maracambo, des Iles-sous-le-Vent, il a imaginé Alpha du Centaure, Cassiopée, Andromède, le Bateau Ivre l'a entraîné au loin et il se souvient encore de son excitation passionnée quand il a découvert les intégrales, le calcul différentiel, le mouvement des satellites, quand on lui a révélé l'atome. Ces souvenirs sont des secrets délicats à partager.

L'amitié était rare pour l'adolescent qu'il a été, c'est un diamant qui brille d'un éclat particulier, mais tellement difficile à trouver ! Dans son enfance, il lui semble avoir traversé des contrées cachées, presque ignorées et il souhaite, plus que tout, rencontrer ceux qui ont pu hanter le même univers. Ils n'en parleront pas abruptement, mais ils sauront, chacun de son côté, qu'ils ont frôlé les mêmes mystères, dans un sentiment de complicité à peine ébauché. On ne peut en parler directement sans les défigurer, ceux qui ne sont jamais partis ne peuvent pas comprendre les descriptions qu'on leur en donne, ils pensent qu'il s'agit d'inventions, de folies, d'aberrations et qu'on leur raconte n'importe quoi.

Cet adulte ne peut se former une image claire de lui-même : on lui a renvoyé celle d'un enfant distrait, presque indifférent, alors qu'il devait se protéger sans cesse, sans jamais baisser sa garde, des attaques imprévisibles qui le touchaient profondément. On le disait aussi "bête", et tellement difficile à comprendre à côté de ses camarades ou de ses frères et soeurs, tout de même plus faciles à éduquer ; il demeure un mystère pour lui-même, un mystère pour les autres.

Lui a l'impression d'être depuis longtemps en deuil : il a été idéaliste, comme nombre d'enfants doués, mais lucide aussi et ce sont deux caractéristiques qui ne font pas très bon ménage. Il lui a fallu s'endurcir pour supporter toutes les petites meurtrissures de la vie quotidienne. Envolés ses rêves secrets d'accomplissement prestigieux, disparu son bonheur, quand il découvrait un savoir nouveau, qui lui ouvrait des horizons jusque là insoupçonnés, anéantie son exaltation à l'idée de ce qu'il pourrait réaliser.
Ce deuil peut avoir débuté lors d'un redoublement considéré comme injuste, et qui n'est jamais justifié dans le cas des enfants doués. On ne peut imaginer le mal que va causer cette décision, vécue comme arbitraire. Comme le disent certains professeurs : "c'est bon de redoubler au moins une fois, cela n'a jamais fait de mal à personne et ça incite à mieux travailler et surtout à consolider les bases", ces fameuses bases, qu'il n'a même pas vu passer, tant elles lui semblaient élémentaires. On ajoute : "il est jeune, il ne faut pas qu'il se sente trop sûr de lui". Eh bien, ce redoublement a provoqué une blessure si profonde qu'elle n'a jamais pu cicatriser, quelque chose est mort à ce moment-là, une certaine confiance dans l'adulte, un espoir mis dans "l'Ecole", considérée comme un temple où les merveilles de la connaissance allaient être dispensées, une idéalisation des professeurs qui "savaient", qui ne pouvaient pas se tromper et qui ont décidé que cet élève-là n'était pas digne de passer dans la classe supérieure. Ce fut comme un rejet dans les ténèbres extérieures et l'enfant doué ne s'en est jamais remis. L'amertume lui a laissé un goût qui ne peut s'effacer. On lui a irrémédiablement volé une année qui lui manquera toujours et la plus brillante des réussites sociales ne parvient pas à faire disparaître ce souvenir encore douloureux, des décennies après.

Cette impression de rejet peut être ressentie à un âge très tendre, avec le sentiment d'une difficulté à rentrer dans le flot normal de la vie, quand le désir d'apprendre à lire, écrire, compter n'est pas entendu ; l'apprentissage doit alors se faire clandestinement, parce que l'autorisation officielle n'a pas été donnée. On dit aux parents : "ne le poussez pas, laissez-le encore jouer". Se voir interdire l'accès au savoir, au moment où l'on en a un tel désir, fait naître un malaise qui n'est ni remarqué, ni compris ; mais ceci est une autre histoire, même si c'est souvent le début de notre histoire.
L'enfant ainsi spolié risque déjà de s'endormir, en s'enfonçant dans un désintérêt de plus en plus grand, même le QI baisse, comme j'ai pu le constater en examinant à nouveau des enfants qu'on avait dû laisser dans leur inconfort scolaire.

Chez l'adulte, ce lent enlisement a entraîné une attitude constamment distante, les événements perdent leur intensité, il lui semble qu'il est obligé de se forcer pour paraître vif, alerte, dynamique, lui dont la vivacité d'esprit peut être fulgurante et la logique d'une éblouissante clarté. Malaise, deuil, renoncement et surtout culpabilité se fondent dans un engourdissement qui l'apaise un peu. C'est la culpabilité qui le tourmente le plus douloureusement : vis-à-vis de lui-même, qui a trahi l'enfant passionné, mené par ses rêves vertigineux et vis-à-vis de l'entourage, déçu de voir s'éteindre si tôt des qualités qui paraissaient si prometteuses.

Il convient de rappeler qu'on ne sait jamais qu'on est intelligent ; les problèmes où d'autres se noient paraissent d'une grande simplicité, il n'y a donc aucun mérite à les résoudre, puisque ce n'est pas difficile ; si les autres peinent, ils doivent avoir de bonnes excuses, ils ont été distraits, préoccupés, peu intéressés, mais certainement pas défaillants sur le plan intellectuel, face à une si minime difficulté. On ne peut pas se penser intelligent, quand on mesure ses propres faiblesses avec la lucidité aiguë du sur-doué, qui ne lui permet aucun aveuglement. L'exercice de l'intelligence est si aisé, il s'agit presque d'un jeu, alors où est le mérite et d'où vient que les autres soient tout à coup si lents ?

Quand des parents, venus consulter pour leur enfant, entendent le portrait qui en est fait, ils se reconnaissent souvent ; ils disent, dans un éclair de joie subite : "Mais j'étais comme ça, moi !", une clef leur est donnée, sans qu'ils s'y attendent, qui leur permet de mieux comprendre leur parcours et de se réconcilier avec eux-mêmes. Depuis longtemps, ils avaient pris leur parti de cet inconfort latent, impossible à décrire, à cerner, auquel on finit par s'accoutumer, parce qu'on n'a pas le choix et qu'il n'y a pas de remède connu.
Cette porte entrouverte peut laisser passer quelques lueurs d'espoir : l'enfant meurtri, dont il reconnaît la description, n'était pas un être à part, un "mutant" qui devait s'efforcer de cacher les manifestations de sa personnalité si particulière.

Il retrouve une nouvelle énergie, il s'écoute davantage, il se permet d'exprimer ses sentiments et parfois aussi la passion qu'il avait si soigneusement refoulée tout au fond de lui et qu'il peut maintenant s'appliquer à satisfaire. L'enfant doué est toujours passionné, mais il a souvent très tôt enfoui ses élans, parce qu'ils auraient été mal compris. Quand la passion s'exprime, tout un pan de la personnalité s'éclaire et cet accomplissement est un bonheur véritable. Ce peuvent être des passions modestes, satisfaites à peu de frais : chercher des champignons et trouver les plus rares, ramasser des pierres aux noms compliqués et enchanteurs, écouter les oiseaux et identifier le moindre de leurs cris ... Quand parents et enfants se retrouvent sur un terrain aussi précis, permettant des explorations enrichissantes, les relations connaissent une embellie satisfaisante.

Il arrive aussi que la révélation de son intelligence incite un adulte malmené à reprendre ses études ; il manifeste enfin l'appétit de savoir qu'il avait refoulé jusque là et il trouve un équilibre qui lui fait prendre la mesure de son inconfort, devenu habituel.

Le cas le plus dramatique, et malheureusement le plus fréquent, est bien celui de l'enfant doué qui a été en échec scolaire et qui n'a jamais pu remonter la pente.
Cet échec vient insidieusement durant le parcours scolaire classique de l'enfant doué : dans le Primaire il n'a pas eu besoin de travailler, il écoute à peine la maîtresse, qui a dû répéter dix fois la même chose, il lui suffit d'une seule fois pour comprendre la leçon et pour la retenir, il lit ses livres à toute vitesse et sa mémoire, qui fonctionne à la perfection, lui permet de répéter mot à mot une leçon juste parcourue. Il ne cherche pas à être le premier, il lui suffit de se maintenir à un niveau de réussite satisfaisant, sans fournir le moindre effort.
Abusé par sa facilité, l'enfant doué ne voit pas venir les premières difficultés : dès la 6ème, des failles apparaissent, mais on les pense accidentelles et on ne cherche pas à aider cet enfant brillant, en 5ème, les failles s'élargissent et en 4ème, c'est l'effondrement. Pour éviter cette chute dramatique, il faut donner à l'enfant des méthodes de travail dès les premiers signes de désarroi. L'optimisme n'est pas de mise en pareil cas.

Pour l'enfant doué, il s'agit d'une catastrophe, qui le frappe de stupeur : il lui semble être la victime d'un maléfice qui le rend impuissant, ce serait comme une maladie foudroyante, qui l'aurait atteint brutalement, le laissant privé de dons ; il possédait un trésor et il ne lui reste qu'un peu de poussière sur les doigts, sans qu'il sache comment cet or s'est transformé et surtout sans comprendre comment il aurait dû agir pour le garder ; ce choc le laisse dans un état de désespoir absolu.
Comme il n'a jamais acquis la moindre technique de travail, qui lui aurait permis de surmonter les premières difficultés, il plonge, sans pouvoir se rattraper ; il peut lire dix fois une leçon, ou même vingt fois, il ne la retient pas, parce qu'il ne sait pas comment procéder, et on le voit rester des heures devant son livre ouvert, rêvant en apparence, luttant en fait contre un effroi glacial, puisque sa mémoire si bonne a disparu.
Il est pétrifié d'horreur, épouvanté, il ne sait comment réagir et il en ressent une douleur tellement intense, insupportable, qu'il commence déjà à en refouler les symptômes ; afin d'apaiser cette souffrance intolérable, il va s'appliquer à s'accommoder de son nouvel état, il va bien lui falloir vivre avec cette sorte de paralysie, mais il ne veut pas savoir comment c'est arrivé, il va s'empresser d'oublier ce moment où ses espoirs se sont fracassés, où ses rêves d'avenir ont sombré pour toujours.
Il peut même affecter l'indifférence ou bien reconnaître qu'il en est responsable, pour ne pas perdre la face, il en rajoute ; "l'école, ce n'est pas mon truc !", afin de masquer sa terreur et son abattement. Il bascule dans un néant grisâtre où il va devoir vivre désormais, loin des rêveries éclatantes qui l'avaient accompagné jusque là. On peut penser que certains ne se sont jamais remis du choc éprouvé à ce moment et ils vivent comme en surface d'eux-mêmes, préférant ne pas se pencher sur leur propre histoire, comme s'ils avaient glissé dans un gouffre aux parois trop lisses, impossibles à remonter ; mieux vaut se désoler dans ce fond embourbé, plutôt que de tenter une sortie, il n'y a pas d'issue et on retombera, encore plus endolori qu'avant, à cause de l'étincelle d'espoir qui avait fugitivement brillé tout là-haut.
Oublier cette chute, essayer de la rationaliser, chercher des compensations, toutes réactions logiques, mais de peu d'effet sur une telle atteinte de soi.

Dès ce moment, cette image devient si mauvaise, si négative, qu'il n'est plus possible de la reconstruire aisément. Il faudrait beaucoup d'amour et d'attention pour retrouver la trace de l'enfant d'autrefois, si vif et si imaginatif. Quand on évoque le devenir particulièrement dramatique des enfants doués, adonnés ensuite à la violence, à la difficulté de vivre, adoptant des conduites extrêmes, il s'agit souvent de ceux qui ont connu un tel parcours.
Très vite après ses premières mauvaises notes, il pense que c'était son destin, que sa chance a tourné, et il préfère ne pas savoir ce qu'il est devenu. Il entend encore et encore les paroles qui le définissaient et qu'on lui répétait : "paresseux, tu ne t'intéresses à rien, tu es méchant, puisque tu fais de la peine à tes parents, et d'ailleurs, tu peux avoir de bonnes notes quand tu veux bien, tu refuses de travailler, on se demande ce que tu as dans la tête et tu es menteur en plus ..." quand il s'efforce de dissimuler le plus longtemps possible ses notes honteuses. L'échec scolaire empoisonne littéralement la vie des familles et on a tendance à en rendre totalement responsable l'adolescent en échec, comme s'il avait délibérément choisi cette voie, au point qu'il finit lui-même par le croire.
Ce serait pour ne pas faire mentir ces voix, si pleines d'autorité, de savoir et d'un jugement si sûr, que l'adulte qu'il est devenu se saborde subtilement ; il ne saisit pas les perches qu'on lui tend, il laisse passer les occasions, au dernier moment il s'esquive, il manque un rendez-vous, l'heure d'un examen, avec de fausses bonnes raisons, mais il ne peut supporter l'idée de devoir affronter à nouveau une épreuve, où sa "nullité" apparaîtra.
Pour éviter de s'entendre dire : "vous avez bien de l'audace, dans votre situation, de songer à vous présenter pour ce poste, pour cet examen, pour ces cours, vous ne vous rendez pas compte de votre niveau ...", mieux vaut rester en retrait, se terrer et se montrer décevant pour ceux qui tentent de l'aider. Cette aide ne peut être efficace que si l'on commence par retrouver la trace du choc premier, trace tellement enfouie, oubliée et niée qu'il est ardu de la détecter, il faut ensuite démonter les mécanismes qui ont entraîné cet échec et faire remonter à la mémoire l'image plus flatteuse du bon élève d'autrefois.

Lui finit par croire que l'enfant brillant, dont le souvenir s'efface, vivait ailleurs, dans une vie parallèle ou antérieure, enfin qu'il n'y a plus aucun rapport entre cet enfant avide de découvrir les mécanismes fascinants de l'univers et l'adulte meurtri, qui ne sait plus comment cette image si gaie de lui-même s'est évanouie dans les brumes du passé, comme si elle n'avait jamais existé, ni comment ses rêves se sont enfoncés dans une grisaille impossible à dissiper.

Dans ces conditions, comment conserver de soi la moindre ombre séduisante sur une image aussi abîmée ?

Et surtout, comment songer à réussir sa vie amoureuse ?

Ceux qui ont réussi à sauvegarder une certaine armure ont toujours l'ironie, l'apparente désinvolture, l'agressivité charmeuse que donne un esprit sur la défensive. L'humour reste, en dépit de tous les drames, une des caractéristiques des enfants doués, et un adulte, même dans la pire des situations, conserve encore ce recours, souvent comme le seul fil de lumière qui l'empêcherait de sombrer dans un noir désespoir. Cet humour, qui atténue la portée des blessures, qui gomme la souffrance, qui relativise toute chose en permettant une mise à distance, est bien utile pour celui qui doit se forger une défense efficace. De surcroît, c'est une bonne façon de se faire accepter en société, la plaisanterie constitue un préalable qui fait souvent gagner bien du temps ; c'est un laissez-passer assuré.
On donnera alors l'image de quelqu'un de jaloux de son indépendance, qui ne veut pas s'attacher, qui aime séduire pour le seul plaisir du jeu, mais se dévoiler un tant soit peu serait montrer sa faiblesse, il est préférable de conserver cette apparence brillante dans le verbe, subtile dans le maniement des idées, mais jamais, au grand jamais, se risquer à montrer ou même à laisser deviner à quel point on peut être vulnérable, misérable, plus que nu, quand l'armure est enlevée. Ceux-là se sont construit une image brillante et dérisoire, comme si elle était en carton et que la moindre larme allait la dissoudre. Ils préfèrent se donner une allure de mystère, qui ajoute à leur séduction, à condition de tenir ce rôle assez longtemps pour rester crédibles et pour entretenir l'illusion.

Mais pour les autres, ceux qui n'ont pas su ou pas pu se forger une telle armure, qui n'étaient pas doués pour le verbe, qui sont restés dans leur désarroi, comment oser offrir à un autre, qu'on aura trouvé empli de qualités, qui aura éveillé de tendres sentiments, une image aussi misérable ? Soit on prend un partenaire à l'image de ce qu'on pense être devenu, mais il y aura, en fait, un tel décalage qu'aucune entente ne sera possible, puisque l'un sera au plus poussé de son raisonnement, quand l'autre aura considéré ces prémisses comme négligeables, car, au-delà de cet effondrement, la logique reste claire, droite, intangible. Le plus simple des dialogues deviendra une cacophonie excluant toute harmonie, même pour les détails du quotidien. Ce sera, en permanence, un mur qui séparera les conjoints, à chaque instant ils se heurteront à cet obstacle absolu. Ce beau résultat donne raison à ceux qui restent sur la défensive. D'ailleurs, on voit des couples formés trop jeunes rencontrer des difficultés pour conserver leur entente : ils se sont choisis en fonction de l'image qu'on leur avait donnée d'eux et qu'ils ne songeaient pas à remettre en question, puis, la maturité aidant, l'expérience de la vie éclairant les esprits, ils ont eu une image plus claire et plus véridique d'eux-mêmes et ils ont recherché ailleurs quelqu'un correspondant mieux à leur personnalité réelle.

Mais, dans le cas des adultes qui ont été trop doués dans un temps ancien, cette image plus réelle et plus vraie ne se forme pas ; il n'y a pas de modèle tout fait et surtout il y a trop d'éléments négatifs dans les caractéristiques qu'on leur a prêtées. Il n'est pas possible de dégager des notions solides, structurées, les éléments ne s'assemblent pas en un tout cohérent, ils restent épars, contradictoires, comme si, en se regardant dans un miroir, on ne voyait qu'une surface plane et vide. Ils se disent : "ce n'est pas possible que je sois ce rien, ce néant, j'avais des qualités, il semble que tout se soit effacé, comme si j'existais à peine ..." Ils ne trouvent nulle part de place qui leur convienne, ils changent alors souvent de résidence, de métier, de pays même, dans une quête perpétuelle de leur propre image, qui se dérobe sans cesse, puisqu'elle ne leur a jamais été retournée de façon cohérente ...
Il est donc impossible de s'y reconnaître et ils errent, s'affublant parfois d'oripeaux, dont ils pensent qu'ils vont leur conférer le relief qui leur manque ; ce seront des prises de position provocatrices, des goûts trop exotiques, des recherches d'originalité destinées à surprendre, mais dont ils n'arrivent même pas à être dupes, tant ces artifices sont factices et inutiles. Toute satisfaction leur est interdite : tant qu'on ne sait pas qui on est, quelle direction choisir, tant qu'il suffit d'un peu d'obscurité, d'un trouble plus grand, d'un environnement trop différent pour que tous les repères péniblement mis en place disparaissent, il n'est pas possible de se former de soi une image acceptable.

Et c'est ce rien, cette absence de tout, qu'on va offrir à celui qu'on veut séduire ? Comment donner quelque chose à l'autre, quand on ne sait plus rien de soi et que c'est de cet autre qu'on attend sa propre définition ?

Qui peut avoir assez de grandeur d'âme, d'abnégation, d'oubli de soi pour se consacrer à reconstruire l'adulte blessé et lui redonner l'usage de ses qualités ? Entendre, au-delà de l'immense lassitude, le son ténu d'un espoir qui n'a pas renoncé, deviner la marque des émerveillements d'autrefois, sentir la force refoulée, retrouver les élans du passé, est possible sans doute seulement pour celui qui aura parcouru un chemin identique, mais qui aura reçu moins de coups, eu moins de bosses, moins de bleus à l'âme.

Déjà l'amitié a été difficile pour les enfants doués en état d'échec ; pour ceux qui ont eu une bonne scolarité, ce n'est souvent que dans les grandes classes et surtout dans les meilleures sections qu'ils rencontrent enfin des semblables et qu'ils peuvent se confier, sans crainte des moqueries.

Alors les autres ? C'est un miracle s'ils parviennent à se reconnaître entre eux, malgré leurs blessures. Se préserver est la première des préoccupations, l'amitié devient un souhait inaccessible, comme bien des autres désirs.

Toutes les qualités des êtres doués ne peuvent disparaître totalement ; ils conservent leur rigueur d'analyse, leur justesse de jugement, et les relations n'en sont que plus ardues. Exigeants, jusqu'au perfectionnisme, passionnés, même quand ils n'en laissent rien paraître, d'une ironie critique qui affleure souvent, ils ne peuvent se contenter de relations médiocres.

L'amitié, l'amour, la réalisation de soi-même, tout devient plus difficile et surtout plus décevant.

Cette quête des relations aisées fait la spécificité d'une Association telle que Mensa, où on espère se trouver d'emblée "en intelligence" avec les autres, sans de trop longs préalables, et, en effet, cela arrive.

Ces adultes en péril doivent savoir que pour parvenir à une certaine sérénité ou, du moins, à un apaisement, il faut pouvoir retrouver son image d'antan et la regarder en face, sans lui superposer toutes les paroles définitives et dévalorisantes qui lui ont été appliquées, il faut savoir qu'un échec isolé ne signifie pas qu'on a atteint ses limites. Cette idée des limites est catastrophique, on, peut penser qu'on a atteint son plafond, qu'il n'y a plus rien à faire, que l'intelligence était comme une lueur, qui s'est brusquement éteinte et on va se retrouver dans les ténèbres et s'y perdre, en proie à une angoisse impossible à maîtriser, celle du rêveur qui se voit basculer dans un vide insondable. Cette idée est pernicieuse et destructrice. Il y a toujours à découvrir des portes qu'on avait cru fermées à jamais et qui ouvrent sur l'univers illimité de l'intelligence.

Ce travail demande une audace dont l'enfant doué, devenu adulte, a presque perdu le souvenir, il pourrait paraître d'une difficulté insurmontable à celui qui a tant souffert que toute son énergie semble s'être dissoute dans ses efforts pour éviter de plonger définitivement dans une tristesse infinie, mais on peut se dire qu'il y aura toujours des lueurs, même sur le chemin le plus désolé, pour guider le voyageur courageux ; les discerner parmi les faux-semblants est possible pour celui qui possède la vue aiguisée de l'enfant doué, quand il n'a jamais oublié comment il pouvait trouver refuge dans ses rêves, quand la réalité devenait trop dure et trop contraignante.

Rêvez, rêvez encore, et des chemins nouveaux s'ouvriront devant vous !

© Arielle ADDA

POUR EN SAVOIR PLUS
SUR CE SITE :
GUIDE PRATIQUE  :

pp 52 à 57 et pp 84 à 96

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pp28 à 40 (Dyssynchronie)

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31 mars 2010 3 31 /03 /mars /2010 22:01

Aujourd'hui, j'ai reçu un bien curieux, mais imprévisible mail........putain, vous êtes passés le mot??....

la bizarrerie de cette situation c'est de m'enclencher sur ce genre de mode en ce moment.....réclamez pas parceque c'est insupportable (??) et m'étalez pas vos états d'âmes parcequ'à ce moment précis de ma Vie....je m'en BRANLE....je sais c'est dur....mais c'est tellement = la vérité.Désolé, je peux pas m'en empêcher......

 

après les "sales putes" qui éssayent de te la faire à l'envers (c'est bien connu, facebook ça sert qu'à ça!! sauf qu'avec moi c'est no Fuckin Way bitch)....ou les petites raclures d'ex-Voto de pote qui te taxent des titres pour se branler sur leur faux site en .com.....zetes que des sphincterssssssssss.....feel Me???......

plastic sphincter

 

.......je reçois ça, en guise de junk-mail.....si je me controllais pas un minimum, je pourrais foncer chez Leroy Merlin et m'acheter une hache, style hache du massacre.......tu vois???...ce que je veux te dire????.......l'ami (es-s).......????????.......

 

 

Hum, respirons un grd coup:-------------------------breath-----------------breath--------------------------------

plus titre "love" de erykah badu

 

 

.........hum je me sens tout de suite mieux........

 

 

------------donc je connais ce gars qui a un curieux problème.????......on est en 2010!!! enfoiré(es).....va falloir réactualiser tes infos mon pote.......je gère plus ce genre de merde depuis 2008.....tu presses pas sur le bon bouton.

§/sais tu?,  qu'il existe un livre qui te donnerais toutes les réponses aux questions idiotes que tu te poses, ds ta misérable vie.....????......

 

=ce bouquin, pour ta gouverne, c'est le prophète de K. GIBRAN....d'une vérité absolue, d'une puissance incomparable, insoutenable même.

Ca t'éviterais de commencer toutes tes phrases par "parle moi de".....avec le temps, je fatigue de t'expliquer le monde.

Je suis pas payé assez cher pour ce genre de boulot, et puis je crois que j'ai plus la vocation, au fil du temps que j'ai perdu, ma patience s'est émoussée......???....à force d'avoir pompé la merde des autres.....ha ha.........j'arrive.......

 

 

......alors voilà, la réponse Terminale que je te fabrique l'ami rien que pour toi....viens pas dire que je fais l'ingrat.Tu (mais en fait je devrais dire VOUS?? bande de sangsues!!!)  sollicites mon expertise, tu va pas être déçu ...

 

...ce post va être "----------------"

......mais tu vas te remettre.

......devrais je te rappeler que si tu n'es pas MOI, c'est pour de bonnes raisons?.......mets ton putain de protège-dents.....ta machoire, s'apprète à être fracturée.....UP and Down, UP and Down.....!!!!!!!!!.....vicious uppercutz.....

 

Dernièrement, j'ai entendu vos grognements (ou vos géremiades?).

 c'est pauvre.....alors je me décide à vous (tarif de groupe cette fois) remettre tous vos putains de compteurs à zéro.

Bougez pas, parceque j'arrive à vous, simplement je fais jamais le déplacement ds le VIDE......

 

sur facebook, y a une fan page débile genre, un bon pote s'est le gars qui te tiends la tête au dessus de la cuvette des chiottes qud tu gerbes toutes tes trippes....well, je dois pas être ce genre de pote alors?......j'avoue que je suis plus, du genre : le gars qui tire la chasse de la cuvette de chiotte.....mon appréciation........pas la votre......j'ai rendu mon habit d'éboueur en 2008......lis la presse ou certains blogs véreux....

 

Parle moi du =.....REPEAT MODE???.....a loop is a loop is loop is a loop= c'est bien connu........j'espère que tu va comprendre...

/ parle moi de toi???....je vais te parler de moi, si c'est ce que tu veux?, mais en te parlant de toi......genre additionne et soustraie....tu auras ta réponse....peut être......parceque va savoir avec toi.je questionne l'accuité de compréhension chez toute personne qui me recontacte à plusieurs années d'intervalles...putain , vous êtes balisants.....si si.....

 

pourquoi je fais ce que je fais???, pourquoi je suis ce que je suis???.....pourquoi cette sauvagerie, pourquoi ce mode bestial que j'ai choisi de réintégrer en reparamètrant ma vie depuis quelques années.........pourquoi tu me retrouvres en de si bonnes dispositions....

 

Un de mes potes, m'a un jour appellé "le coupeur de têtes".........au travers de cette parabole, voilà qui je suis et donc qui tu n'es pas!.

....une tête ça se recolle pas.....une fois coupée, et "correctement" tranchée.....c'est MORT........et c'est là ton problème.Tu veux transgresser les lois Universelles......tu t'obstines avec ce Repeat Mode et tu es nulle part......clairement tu n'es pas là ou tu voudrais être.? vrai???.....t'es là avec ton tube de glue tout pourri..une tête ne se recolle pas...pour l'instant y a qu'une partie de l'anatomie qui se greffe..pour le reste......well......

 

La vérité nue la plus évidente est que je ne peux pas t'expliquer ce qui ne s'explique pas.......apprend à couper des têtes, commence à éguiser tes couteaux......mais je vais y revenir......le reste c'est une PUTAIN de promenade de santé.

 

Achètes toi un putain de fauteuil et colle toi le cul dessus....apprend la PATIENCE, apprend à être patient,devient "patience"

.....ça à marché pour moi, pourquoi ça marcherait pas pour toi ou pour quiconque dailleurs??.......ensuite, regarde....et continue d'appendre religieusement......apprend avec humilité.......je veux dire que tu as la FOI, mais qu'est ce que la foi si ce n'est ce que je viens de t'exposer ???

.......la foi exige la patience comme vertu première et cardinale.......as tu vraiment la Foi??je me le demande

.....quand je reçois des merdes genre de celles que j'ai reçues via facebook ou myspace.....je mesure ma patience, et aussi tout le reste de ce qui te fait défaut.....à un certain point de rupture avec les personnes qui ont pû partagé ta vie, tu dois accepter aussi d'être trainé ds la pire bouillasse, sans bouger un putain de sourcil.....perso, ce paramètre me fait jubiler...

Les ordures qu'ont m'a balancé dessus, well, c'est inconséquent, et ce qui fait de moi l'individu que je suis aujourd'hui...Je crois à la vérité....elle se révèle toujours , et trouve toujours son chemin.......voilà,pourquoi elle est la vérité....la vérité met du temps à parcourir ce chemin, simplement......

 

Une autre vérité??  

j'ai choisi d'arpenter UN chemin que vous avez pas les trippes d'arpenter....ce qui nous différencie???....me faudrait 10 overblogs pour t'expliquer ce qui échappe à ta compréhension, pendant qu'à toi il te faudrait arpenter le chemin de ma vie.Tu ne peux pas avoir ce que j'ai, ou simplement être qui je suis sans cela........mais tu n'es pas Moi.......du reste tu ne voudrais pas avoir arpenté ce chemin tortueux qui est le mien......jusqu'à aujourdh'ui....

 

Le repeat Mode a jamais été pour moi, je fais même pas d'éfforts à ce niveau là, c'est "all naturel" pour moi.Une porte se ferme, une autre s'ouvre et je rentre ds une nouvelle dimension, je me réinvente, je disparais en mode "furtif", puis je réapparais "différent"...genre programme de protection de témoins, nouvelle identité pour une nouvelle vie.Je ne me retourne pas en arrière, enfin pas de cette façon prévisible et misérable, putain de perte de temps...y a tellement de possibilités.

 

Putain faut être fier .....cette fiérté ne se brade pas, ne s'abroge pas, surtout pour ce genre de raisons......Personne ne mérite que cette loi soit transgréssée.....pas le genre de personnes que tu me décris....j'ai pitié pour Toi....

 

  Cherches et tu trouveras?:

Tu cherches pas au bon endroit, tu te réinventes pas avec les bonnes personnes, du reste, tu transgresses la loi universelle de se retrouver "seul".....je te dis loi mais ne devrais-je pas dire commandement???.

 

Tu ressorts toujours ta vieille équation pourrie.... celle qui te réussi pas....tu tournes en rond, tu fais des loops sur toi-même.....ne m'en veut pas mais j'ai perdu toute compassion pour mes semblables....j'ai éradiqué cette composante foireuse il y a maintenant quelques années......

je ne m'excuserais pas d'être ce que je suis aujourd'hui.....j'avoue que les récriminations qui me sont adressées, ne me touchent pas.....mouaih, je suis horrible, parceque j'ai vu l'horreur trop de fois.......ça doit surement être ça.....saches que je n'ai aucuns regrets....

 

Voilà mon bon conseil, voilà toute ma science en version simplifiée (pour toi).Là, j'ai un truc prioritaire à faire donc je vais abréger tes souffrances.

 

La personne que tu cherches si désespéremment ne se trouve pas là où tu la REcherches....?????WTF.....§!

 

what the fucccckkkkkkkkkk????........c'est ce que le prophète te dirait, enfin j'imagine.....avec mon PEU d'imagination.

 

La seule vérité de comptoir (mise en abime?), qui s'affirme pleinement c'est que cet endroit où tu aimes si bien te perdre et divaguer n'est tout simplement pas le bon endroit.

Curieusement, la seule autre mise en perspective que tu me réclames me rappelle à une mauvaise séquence de ma vie .Laisse moi t'affranchir.

Ton ame soeur, ou prétendue telle ne se balade pas ds les rades minables que tu fréquentes.....pas un jugement mais une évidence.

Alors, je veux bien t'accorder que la mystification est puissante parfois mais faut pas déconner......avec le temps tu aurais dû le comprendre par toi même....il est évident que ds ce genre de loose-place, tu vas irrémediablement te retrouver collé comme un putain d'aimant à la seule pieuvre, qu'il faut précisemment que tu fuis.....c'est mathématique, logique même??......

 

Je vois ça d'ici, elle va te balancer tout son catalogue en une seule fois, t'aligner les trois citations qu'elle a en stock, réciter les bons mots, et puis vous aurez fatalement un faux fond commun, de films de livres ou de putains de recettes de cuisine si tu veux.....putain, shakespear in Love quoi???...faut plus que ça, pour faire un bout de chemin avec une personne....ce qui te rattache à quelqu'un "profondément" ne s'énonce pas aussi facilement.

 

......le programme de la matrice ou du "grd architecte" est bien différent.....suffit, de regarder.....suffit de prendre du recul....et de respirer......un bon coup......la vérité se situe ds le détail, comme j'aime à le dire.......

 

Ne respectes pas cette simple procédure et tu va te faire "décimer" à tous les coups.....

 

Bien sûr tu me vanteras son "intégrité" morale...ha ha ...genre?: laisse moi deviner??.....elle se balade en col-roulé et bla bla...parcequ'elle supporte pas de se faire reluquer le cul, les meufs "out of touch" ne se baladent pas ds ce genre d'endroits c'est une règle première

.....mais putain....WTF?....laisse moi te developper.....en clair, c'est le genre de fausse "Ste nitouche pas la Bite" qui va se faire tirer par le premier raclôt qui passait par là, un soir de pleine Lune...cette narration.....est......minable...j'avoue que je t'écoute, mais sans t'écouter.....

 

et toi tu m'écoutes si?/disons, je te dis que j'ai été moi-même ce "raclot" qui passait par là (volontairement ou pas on s'en branle, on doit tous l'être un jour pour le comprendre c'est logique).....

 

C'est la mise en abime petit......je regarde cette "LOOP" que je viens de t'énoncer et je souri (et plus encore).....Maintenant, dépassée cette petite considération révélatrice d'un self enclin à la destruction et au chaos......je te dirais ceci:

 

La patience comme vertu cardinale que tu dois embrasser à compter de ce jour, est de comprendre que dans ce genre de rade, tu auras jamais le loisir de rencontrer cette nana "Ultimate" dont tu me rabats les oreilles.....mis à part des gens qui sont là pour semer le "chaos et la destruction", je vois pas d'autres profils à l'horizon.

 

Sais aps moi?, essaye le prochain gig de Erykah badu, j'oserais te dire par conviction que tu as un ratio plus elevé de probabilités de repartir avec la personne que tu recherches si âprement.....je n'ai pas à te le prouver puisque tu le sais déjà....puisque ....tu le sais déjà.....sic

 

......je te dirais, que ce soir là je savais : ......ha ha= bref, tout le déroulé.........aujourd'hui que je m'écoute en boucle le "LOVE" track de Miss badu, je me dis putain c'est un truc de dingue??? ce gig badu 2008.........mais en fait, NON..........c'est pas dingue, c'est juste : la FOI..............qui remet ce genre de compteur à Zero.....

 

 

Voilà ainsi je te viens de te parler pour la dernière fois sur ce sujet comme un putain de zarazoustrah des familles......

il te suffit juste de retrancher une personne que franchement je qualifie de putain de Lucifer en jupon (et je m'y connais).....et de te recréer la bonne équation......cette fois, avec la bonne personne (cherches au bon endroit cette fois).........aussi simple et débile que ça...

 

Tiens, va sur Facebook, et défoule Toi la Bite sur des pages genre: "On connait tous une grosse salope", ou "faut se taper le pire Toons de l'Univers pour apprécier ce qui vient après"...etc.....Putain, c'est pas les défouloirs qui manquent.....crée toi une "Fanpage Facebook", moi si j'avais que ça à foutre je le ferais surement....

.."sick".......???....

 

BADU à  PARIS SOON.......pense y sérieusement........

je te donne cet indice utile à toute parfaite compréhension= "ANALOG GIRL in A DIGITAL WORLD".......

erykah badu digial pic

 

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2 mars 2010 2 02 /03 /mars /2010 15:03
Leonard Peltier
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Page d'aide sur l'homonymie Pour les articles homonymes, voir Peltier.
Une sculpture de protestation à Liverpool.

Leonard Peltier est un militant amérindien Anishinaabe/Lakota, né lé 12 septembre 1944, incarcéré depuis 1976 et condamné à deux peines à perpétuité. Il est membre de l'American Indian Movement.

L'organisation Amnesty international le considère comme un prisonnier politique, qui "devrait être libéré immédiatement et sans condition."

Sommaire

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L'affaire [modifier]

Le 25 juin 1975, Jack R. Coler et Ronald A. Williams, des agents spéciaux du FBI recherchant pour interrogatoire un jeune homme suite à l'attaque de deux ranchs sont tués dans une fusillade dans la réserve indienne de Pine Ridge dans le Dakota du Sud.

On retrouve les empreintes de Leonard Peltier sur les affaires des agents tués et le 22 décembre 1975, il devient la 335e personne à être inscrite sur la liste des Dix Fugitifs les plus recherchés du FBI.

La Gendarmerie royale du Canada l'arrête à Hinton en Alberta le 6 février 1976.

Leonard Peltier a été inculpé de l'assassinat de ces deux agents du FBI puis condamné à deux peines consécutives de prison à perpétuité le 2 juin 1977 à Fargo (Dakota du Nord). Il est incarcéré au pénitencier fédéral de Lewisburg, Pennsylvanie. Il n'a pas bénéficié de la révision de son procès.

Toutefois, ses partisans disent que :

  • son arrestation et son extradition du Canada aurait été obtenues sur la présentation de dépositions, obtenues par le FBI, de Myrtle Poor Bear, une jeune femme indienne dont le témoignage sera écarté par le juge sur la base d'instabilité mentale au moment du procès de Peltier ;
  • ses avocats se sont vu imposer des restrictions dans leur argumentation et n'ont pas été autorisés à présenter des témoins lors de son procès.

Les recours [modifier]

Les avocats de Peltier ont déposé une nouvelle plainte dans le cadre de la Loi sur la Liberté de l’Information, pour obtenir la déclassification de plus de 170 000 pages sur cette affaire, qui sont toujours classées par le FBI et la CIA pour des raisons de « sécurité nationale ». Le but de cette action étant d’obtenir de nouvelles preuves, ce qui permettrait de ramener le cas Peltier devant différentes cours de justice. Le FBI a remis en juillet 2002 plus de 30 000 pages à la défense permettant à l'équipe légale de Peltier de travailler sur un appel devant une cour fédérale. Mais jusqu'à présent, le FBI retient toujours plus de 140 000 pages.

La dernière action en justice a été déposée, en avril 2002, dans le cadre du droit civil américain. Leonard Peltier et ses avocats ont décidé d’attaquer le FBI pour son rôle dans cette affaire depuis 1975.

Depuis près de 30 ans, plusieurs personnalités à travers le monde (Nelson Mandela, Rigoberta Menchú, Chef Arvol Looking Horse, Mgr Desmond Tutu, Rockin' Squat, Médine, Pyroman, les groupes Rage Against The Machine et Tagada Jones, le chanteur Renaud...), ainsi que des millions d'anonymes, réclament la libération de Leonard Peltier. Lors de sa réélection, Bill Clinton avait assuré qu'il " n'oublierait pas Leonard Peltier" sans avoir donné à Leonard Peltier la clémence présidentielle.

Durant la première quinzaine de janvier 2009, le site américain Change.org qui promeut l'élaboration d'une liste de mesures d'urgence à soumettre au Président élu Obama classe en 12e position sa libération immédiate[1].

Le jeudi 8 janvier 2008, Léonard Peltier est informé de son transfert[2] du pénitencier de Leavenworth au Kansas pour la prison de Lewisburg située en Pennsylvanie et ce dès lundi 12 janvier 2009. Dans la même missive, il lui est accordé le droit de solliciter une libération conditionnelle en février 2009. Peu de jours après son arrivée au Canaan Federal Penitentiary, [3] Leonard Peltier a été pris à partie par des prisonniers et est sévèrement blessé. Ne voulant pas dénoncer ses agresseurs, il n'est pas considéré comme victime par le système pénitentiaire, et est donc placé en confinement avec un seul repas par jour. Ses jours seraient en danger selon son site officiel, qui rappelle que Leonard Peltier est diabétique, et qu'un tel traitement met en jeu sa santé.

Citations [modifier]

  • " Le futur appartient au créateur seulement et c'est le créateur qui le donne à la jeunesse. "
  • " Mon crime est d'être indien. Quel est le vôtre? "

Notes et références [modifier]

  • « Écrits de Prison » de Leonard Peltier, a été traduit en français. Il est publié aux Éditions Albin Michel qui ont pris l'engagement de reverser tous les bénéfices des ventes de l'ouvrage au comité de défense de Leonard (Kansas, USA) afin de soutenir la campagne pour sa libération.
  • « In the Spirit of Crazy Horse » de Peter Matthiessen, (1991), New York, éd. Viking Penguin (existe en anglais uniquement).
  • « The Trial of Leonard Peltier » de Jim Messerschmidt (1983), Boston, éd. South End Press .
  • « Agents of Repression » de Ward Churchill et Jim Vander Wall (1990), Boston, éd. South End Press.
  • « Incident à Oglala », documentaire sur le cas Peltier, réalisé par Michael Apted et Robert Redford (1992) - vidéo.
  • « L’esprit de Crazy Horse », documentaire sur la lutte des Lakota, la création de l’AIM et l’affaire Peltier, réalisé par Michel Dubois et Michael McKiernan (1990) - vidéo.
  • « Leonard Peltier », chanson de Little Steven (Steven van Zandt) sur l'album "Revolution" (1989).
  • « Freedom », chanson du groupe Américain Rage Against The Machine dans l'album Eponyme.
  • « Leonard's song », chanson écrite et chantée par Renaud, musique de Alain Lanty - Album « Rouge Sang » édition limitée.
  • « Leonard Peltier Free! », chanson du chanteur basque Fermin Muguruza sur l'album « In-komunikazioa » (2002).
  • La créatrice de mode anglaise Vivienne Westwood a également apposé le slogan "Leonard Peltier is innocent" à certaines de ses campagnes de publicité magazine; ainsi que sur des vêtements haute couture présentés pendant ses shows à Paris.
  • Le créateur de mode Christian Lacroix publie le slogan "Leonard Peltier est innocent" dans les livrets/programmes de ses shows pendant les Semaines de la Mode à Paris.
  • Le groupe de musique Indiannation a nommé une de ses chansons "L. Peltier Freedom Now" dans l'album "Red power" (1994)
  • "Trop de choses à dire" Rockin'Squat et Taïro (2000) sur l'album Touche d'Espoir, référence a Léonard Peltier
  • « Left for Dead », texte du poète shawnee Barney Bush dédié à Leonard Peltier mis en musique par Tony Hymas figure dans le disque éponyme (1994 - réédité en 2005) produit par Jean Rochard. Il existe deux autres versions de Left for Dead dans les deux éditions de Remake of the American Dream de Tony Hymas et Barney Bush.
  • Le groupe de musique punk Tagada Jones album Virus 1999 Leonard P.
  • Le rappeur engagé Médine fait référence à Léonard Peltier dans le titre "Self Defense" issu de l'album "Arabian Panther"
  • « Mósa Wòsa », roman de science-fiction de Nathalie Le Gendre est dédié à Leonard Peltier.

Liens externes [modifier]

Précédé par Leonard Peltier Suivi par
Marsha Feinland
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Candidat du Parti Paix et Liberté à la présidence des États-Unis
2004
2008
Ce document provient de « http://fr.wikipedia.org/wiki/Leonard_Peltier ».
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2 mars 2009 1 02 /03 /mars /2009 00:35

LA MECANIQUE QUANTIQUE

Le début de ce siècle a vu l'éclosion de trois théories fondamentales en physique: La relativité restreinte en 1905, la relativité générale en 1915 et la mécanique quantique en 1926.

Si la relativité générale se préoccupe du macrocosme, la relativité restreinte et la mécanique quantique se réfère à l'infiniment petit (microcosme).

] Commençons par le principe d'incertitude d'Eisenberg

Il affirme qu'on ne peut pas connaître avec précision à la fois la position et la vitesse d'une particule.

Cela n'est pas dû à la limite de notre connaissance .

Si l'on ne peut pas connaître sa position et sa vitesse, c'est parce qu'une particule quantique n'étant pas ponctuelle, n'a pas à la fois une position et une vitesse définies (c'est un autre univers). Les objets quantiques admettent tout un spectre de valeurs pour la position et la vitesse.

Cette limite ne porte pas sur la précision des mesures; elle porte sur la validité des concepts classiques pour une particule quantique.

La " fonction d’onde " détermine la probabilité de présence en un lieu à un instant donné d'une particule.

] Le CHAT de SCHRÖDINGER: un chat est placé dans une boîte scellée. A l'intérieur de la boîte, se trouve un pistolet pointé vers le chat, on évalue par exemple les chances pour que le chat reste en vie à 50%. Si on ouvre la boîte on trouvera soit un chat vivant soit un chat mort. Mais avant d'ouvrir la boîte: L'état quantique du chat est un mélange de "chat mort" ou de "chat vivant". Comment est-ce possible-

à moitié vivant ou à moitié mort? Alors que le concept classique de la réalité veut qu'un objet possède une histoire unique et bien définie.

Dans la vision quantique, un objet ne présente pas une histoire unique mais toutes les histoires possibles.

Notons que Maïmonide était bien en avance dans l'analyse de ce paradoxe. Dans son livre sur les lois relatives à la techouva Maïmonide (RAMBAM) écrit: Tu pourrais dire que D' sait bien tout ce qui va être , mais avant que cela ne se produise, s'avait-il ou non si un tel serait un juste ou un pervers? Si D' savait qu'il serait juste, c'est impossible qu'il ne le soit pas; mais si tu dis que D' savait qu'il serait juste mais qu'existe l'éventualité qu'il soit pervers, c'est donc que D' ne savait pas exactement!

RAMBAM poursuit: Sache que la réponse à cette question est plus étendue que la terre et plus vaste que l'océan et plusieurs grands principes et "hautes montagnes" en dépendent. Tu dois cependant savoir et comprendre dans ce que je dis que, la connaissance que D' a des choses n'est pas séparée de LUI-MÊME, contrairement à l'homme chez qui, lui et sa connaissance en font deux. Pour D', béni soit Son nom, la connaissance fait partie intégrante de Son essence. L'esprit humain ne peut pas saisir à fond ce concept.

 

] LE VIDE

Même sans atome, l’espace contient toujours " quelque chose ". Le néant absolu n’est pas de ce monde. Le vide est plein d’énergie, de champs et de particules à " l’état virtuel ". Le vide joue un rôle clé en physique. Pour le théoricien, le monde physique peut s’expliquer par 4 forces fondamentales.

  1. La force de gravitation.
  2. La force électromagnétique.
  3. La force nucléaire faible.
  4. La force nucléaire forte

Dualité onde - particule : On ne peut pas voir un visage à la fois de face et de profil – De même en mécanique quantique, ondes et particules sont les deux " faces " sous lesquelles apparaissent les objets quantiques. Ainsi la lumière visible peut se manifester sous l’aspect d’une onde ou celle d’une particule : le photon. De même un électron matériel peut adopter le comportement d’une onde. Si un objet quantique était un cylindre on pourrait le voir par exemple, soit comme un cercle soit comme un rectangle selon l’angle de vision.

En mécanique classique on distingue deux types d’objets : Les particules d’une part et les ondes d’autre part ; La mécanique classique n’admet qu’une seule catégorie d’objet ayant tantôt un comportement " corpusculaire " tantôt " ondulatoire ".

" fonction d’onde " qui détermine la probabilité de leur présence en un lieu à un instant donné.

Le vide absolu n’existe pas dans notre monde. Voilà un résultat de la physique quantique. Le vide est plein d’énergie et de particules à l’état " virtuel ". C’est un vide " plein " , un faux vide ; Le vide peut être perçu comme une " mer " de particules virtuelles porteuses de toutes les interactions entre particules.

Ce serait par la fluctuation de ce vide non vide qui aurait dicté à l’univers son espace-temps propre, ses lois, sa physique et la façon dont s’est brisée l’unité originelle pour engendrer les 4 forces et les particules que nous connaissons. Au départ, les quatre interactions étaient unifiées et la symétrie parfaite. L’univers a dû se refroidir et les symétries se " briser " pour qu’apparaissent les 4 interactions (forces) connues.

La théorie actuelle explique que la gravitation due à la concentration de la matière et qui tend à courber l’espace-temps, s’oppose à l’expansion. L’élément décisif est la densité de l’univers . Si elle est élevée, alors l’espace- temps se courbe , la gravitation l’emporte et l’univers se contracte ; inversement, si l’univers est très peu dense alors cet univers est en expansion.

Il n’existe aujourd’hui, aucune théorie capable de marier les effets quantiques et gravitationnels. La relativité générale, qui décrit la gravitation et l’univers à grande échelle, et la physique quantique qui règne dans le monde microscopique, semblent totalement incompatibles. Et pourtant l’univers est issu de ce faux vide quantique avant d’être régi par la mécanique générale.

Le vide est l’état latent de la réalité et la matière son état manifeste.

Il y eut " brisure " du vide dans la lumière (photons) et de la lumière à la matière : Vide- Lumière- Matière.

Auparavant, les physiciens pensaient que le monde était divisé en matière et énergie ; la matière résidait dans les particules et l’énergie dans les champs, qui en interaction avec ces particules provoquent le mouvement. Selon la théorie quantique, l’intensité d’un champ en un point est interprétée comme une probabilité statistique d’y découvrir les " quantons " associés : les particules ; c’est à dire la matière.

Le physicien danois, comme ils disent, David Niels Bohr expliquait que la " matière " est liée au " champ " comme " l’écume " est liée à la " mer " . L’écume est la limite de la mer, comme la matière l’extrémité du champ.

La physique quantique échappe au sens commun. Qui veut y pénétrer doit abandonner toute logique et toute intuition familière.

Car les particules n’ont pas de trajectoire, se trouvent simultanément en plusieurs endroits différents.

Et pourtant la physique classique découle de l’univers quantique. Dans les dernières années certaines expériences essayent d’expliquer le passage du quantique au classique, c’est la Décohérence :

La physique quantique ne connaît ni onde ni particule, mais une seule catégorie " d’objets " qui possèdent certaines propriétés des ondes et d’autres des particules. Ces objets quantiques sont impossibles à imaginer visuellement. Une bonne partie de ces bizarreries quantiques trouve son originalité dans le " principe de superposition ". Les d’un atome ou de tout autre système quantique constitue ce que l’on appelle son " état ". Quand un système a plusieurs états possibles, la somme de ces états est également un état possible. C’est grâce à ce principe essentiel qu’une particule peut occuper plusieurs positions possibles à la fois. Tant qu’on reste dans le domaine quantique, tout va bien.

La difficulté commence lorsqu’on passe dans l’autre monde, c’est à dire le nôtre, le monde macroscopique. Car la superposition des états est impensable dans notre univers classique. Nul n’a jamais vu un objet simultanément dans deux endroits différents. Dès que l’on voudra mesurer l’énergie d’un atome, on ne détectera jamais cette superposition, mais seulement l’une des énergies qui la constituent.

L’action de mesurer fait disparaître la superposition des états, au profit d’un seul. Cette réduction des paquets d’ondes est due à l’interaction du système quantique avec son environnement (ici l’appareil de mesure). Les multiples interactions avec l’environnement entraînent une destruction très rapide des interférences quantiques du système. En détruisant les interférences, l’environnement expérimental supprime les " superpositions d’états " et le comportement quantique du système, de sorte qu’il ne reste plus que des états simples et qu’on retrouve alors le comportement classique de la particule. Ce phénomène a été nommé " décohérence " car c’est la destruction de la cohérence des états quantiques qui élimine les interférences.

Une comparaison : Des vagues sur la mer. La présence d’un très long bateau (plusieurs km) détruit le système des vagues (interférence des ondes) – par comparaison la présence de l’appareillage d’observation ne permet pas de voir le phénomène quantique en évolution mais seulement son résultat. Pour que l’on puisse analyser ces vagues, il faudrait réduire l’appareillage à une caméra fixé un bouchon de liège et

qui subirait elle même les flux et reflux des vagues ainsi que leurs interférences.

Le vide sera pour nous le trait- d’union entre la physique et la métaphysique.

 

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2 décembre 2008 2 02 /12 /décembre /2008 01:09

@...I'm HERE.....where R U????.....(en train de cuver.....)

.............sic


A la rubrique,vient me reparler quand t'auras 40 piges, et autant de kilos en trop, et que t'auras gagné 20 fois d'affilées le concours de Miss Univers-version cellulite et gros cul qui passe plus les portes....ou dégote toi le sondage qui confirme que les hommes aiment les grosses, moches, alcoolo de service et débiles, (bon le sondage atténuera volontairement certaines tares)...mais ce sera quand même in u'r face bitch*.........


En attendant ce jour béni, KEEP MAKE MY FUCKIN'DAY !!!!!!!*......Putain, c'est Noel ou quoi???....parceque ça c'est de l'article...que je kiffe graveeeeeee!!!!............exellent..........

NON, je surkifffffeeeeeeee............ptdr.....hey je maitrise le langage "jeuns" débile décérébré...........hî,hâ...sa mère!!.....(à prononcer avec un gros accent du terroir!!)


Ami lecteur,si t'as une calvitie, cet article est pour TOI.....si ça te remonte pas le moral, fait toi préscrire du propécia...

Par Reuters le 29/11/2008 08:26
Vieux, chauve, mais séduisant? C'est possible, dit une étude...


Un homme peut être vieillissant et chauve et conserver tout son attrait auprès des femmes, révèle une enquête publiée samedi.????.....ah wouaih???.....


Dans cette étude, intitulée "La beauté des mâles", les enquêteurs de la société Synovate ont interrogé en octobre près de 10.000 hommes et femmes dans 12 pays sur ce qui rend un homme séduisant. Si les Italiens sont considérés comme les mâles les plus susceptibles de susciter des regards enamourés, les sondés avancent d'abord deux facteurs essentiels de séduction, une bonne hygiène et une confiance en soi. La chevelure, ou plutôt la calvitie, ne semble pas être un élément déterminant. Un pour cent seulement des personnes interrogées jugent qu'un homme dégarni est un homme décati. Par contraste, 60% des sondés, surtout aux Etats-Unis, en Chine, en Grèce et en Malaisie, estiment que l'apparence extérieure des hommes a tendance à s'améliorer avec l'âge.


"Apparemment, les hommes sont comme le bon vin, ils s'améliorent avec l'âge", note Bob Michaels, porte-parole de Synovate.

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29 novembre 2008 6 29 /11 /novembre /2008 12:19

Il fut un temps où la simple évocation de son nom faisait trembler les plus courageux. Pour coucher les enfants récalcitrants, il suffisait de les menacer de sa venue. 

Qui ? Mike Tyson. Probablement le boxeur le plus spectaculaire, sur le ring, mais également en dehors.



Né le 30 juin 1966 à Brooklyn, le jeune afro-américain connaît une jeunesse difficile dans le ghetto de Brownsville marqué par un séjour salvateur en maison de correction. C'est en effet dans cette dernière que Bobby Stewart, ancien boxeur et vainqueur des Gloden Gloves 74, remarque le potentiel athlétique du jeune délinquant. A 13 ans, il pèse déjà 85 kilos, et pas seulement de graisse... Il le présente alors au légendaire coach Cus D'Amato, ancien entraineur de deux champions du monde. Celui-ci va façonner Mike Tyson et en faire un boxeur impitoyable sur le ring. Après des débuts convaincants en amateur, Mike passe pro en 85 et fait ses débuts le 6 mars de cette année. 15 combats, 15 victoires, 15 KO dont 11 dès le premier round... Kid Dynamite commence à faire parler de lui, mais malheureusement, Cus D'Amato n'aura pas la joie de voir son poulain devenir champion du monde puisqu'il meurt le 4 novembre 85 à l'âge de 77 ans. Peu importe, le petit boxeur poids lourd (il mesure entre 1,78 et 1,80 m selon les sources) fait son chemin, et rien ne semble pouvoir l'arrêter. Entre 1986 et 1990, Mike Tyson broie ses adversaires, et devient le premier boxeur champion du monde poids lourd toutes fédérations (WBA-WBC-IBF). Iron Mike est né. Sa force, sa puissance, sa vitesse, ses réflexes attirent les foules qui viennent en masse voir ce gladiateur des temps modernes. Il devient ainsi pendant cette période le plus jeune champion du monde des lourds, il est sacré boxeur de l'année 1986 avec un palmarès impressionnant de 28 victoires dont 26 KO et aucune défaite. Alors à son apogée pugilistique, Tyson va déraper, mais pas sur les rings. Il quitte son entraîneur Kevin Rooney, digère mal son divorce avec sa femme Robin Givens, et passe sous la coupe du médiatique Don King, principal responsable du déclin de King Mike.


En 91, Don King organise un combat entre Tyson et un autre de ses boxeurs, James Buster Douglas. Un combat à priori inégal qui se déroule à Tokyo. Mais Iron Mike, peu en forme, et peu motivé fait pour la première fois de sa carrière, un voyage au tapis à la 10ème reprise. Un ressort est cassé, même si Tyson se reprend par la suite et gagne par KO au premier round son combat suivant. Une revanche est alors prévue, mais Douglas perd son titre face à Evander Holyfield, et c'est ce boxeur que Mike doit affronter pour remonter la pente et revenir au sommet. Mais il est accusé de viol et condamné à 10 ans de prison en 92. Il en sort en 95, ce qui fait dire à certains qu'il a été la victime d'un complot visant à le ruiner, chose réussie si tel était le but. En 96, et après des combats de seconde zone, il récupère le titre WBC qu'il abandonne par la suite pour conquérir le WBA en septembre 96. Le 9 novembre 96, Tyson affronte Evander Holyfield. Les médias pensent qu'Iron Mike ne va faire qu'une bouchée du boxeur vieillissant. Mais à la surprise générale, ce dernier envoie d'un uppercut Tyson au sol, qui ne s'en remettra pas par la suite. L'arbitre stoppe le combat. Nouvelle défaite, même si le combat est sujet à de nombreuses controverses, Holyfield étant accusé d'avoir donné de nombreux coups de têtes et des coups bas. La revanche s'annonce brûlante, mais une fois de plus, Tyson est dominé. Si bien que par dépit ou énervement, lui seul le sait, il mord à plusieurs reprises l'oreille de son adversaire et lui en arrache même un morceau... A la fin du combat, le MGM de Las Vegas devient un vaste champ de bataille, entre les deux boxeurs, entre les spectateurs... Tyson est suspendu un an et condamné à payer un million de dollars à son adversaire. En 99, il est à nouveau condamné à un an de prison ferme pour avoir agressé deux automobilistes. Mais Iron Mike effectue un nouveau retour face au faible François Botha qu'il expédie au tapis en 5 rounds.


Au début des années 2000, il semble revenir à son meilleur niveau et il affronte en 2002 le champion du Monde Lennox Lewis, mais il perd le combat au 8ème round. Ces derniers combats sont les combats de trop pour le boxeur vieillissant, qui termine par deux KO, avant de mettre un terme à sa carrière et de se consacrer à des exhibitions pour rembourser ses dettes. Champion paradoxal, adulé puis détesté pour sa brutalité, il a été le boxeur le plus riche de l'histoire avant d'être totalement ruiné mais Mike Tyson reste un boxeur incomparable au palmarès incroyable, avec 50 victoires dont 44 par KO pour 6 défaites et 2 No Contests.





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